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Religion éolare

Les Eolares vénèrent les 3 dieux élémentaires principaux qui ont permis à leur ville de s'envoler dans le ciel. Ces dieux élémentaires sont intrinsèquement liés à un élément climatique fondamental de la vie de Sycarius. 

 

Al’akir:

Les habitants de l’île vénèrent l’ordre et le mérite. Pour eux, le seul moyen de progresser c’est de s’entraîner. Al’Akir est né en même temps que la première pluie et son premier cri fut celui du tonnerre. Fondamentalement lié à l’orage et à la tempête dont il maîtrise les pouvoirs, Al'akir est un dieu qui pourrait sembler impopulaire aux premiers abord mais il est pourtant une facette nécessaire du climat, car la pluie mène à la vie.

 

Récemment, le cœur de l’île volante d’Al’Akir a été détruit, créant ainsi la chute de l'île principale, pour autant, si la pluie continue de tomber, c’est que l’esprit d’Al’Akir est encore présent dans Sycarius.   


 

Lapiuta:

Les habitants de l’île vénèrent l’espoir et la volonté. Lapiuta est né du vent et de la douce brise qui rafraîchit les cœurs. L’espoir de Lapiuta est un élément central dans la vie quotidienne des Eolares, qui peut être difficile. Lapiuta ne perd jamais espoir, car même quand le vent finit par tomber, il se relève toujours après. C'est une morale qui est chère au peuple des cieux.   

Sylphae:

Les habitants de l’île vénèrent le courage et l’audace. Pour eux on a rien si on ne tente rien et la chance sourit aux audacieux. Né du ciel bleu, Sylphae brûle de courage et de vitalité. Quand le ciel est bleu, le monde est à découvert et il pousse les audacieux à se lancer à l’exploration du monde et à tenter leur chance. Ce n’est d’ailleurs par pour rien si la ville illumine le ciel tel un deuxième soleil,  c’est pour pousser les gens à se lancer dans le monde.    

Rites funéraires:

Les éolares cohabitent avec des griffons sur leurs îles volantes. Ces créatures sont vues comme des compagnons fidèles et des alliés fiables. La vie de ces deux peuples est intrinsèquement lié et les deux espèces se vouent un respect mutuel. À leur mort, les Éolares pratiquent donc les funérailles célestes. Le corps des défunts est amené sur les îles des griffons afin d'être consommé par les animaux. 

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